750 grammes
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ROUNDOVINO
24 mai 2013

Daniel Bouland, Chiroubles, 2011

Le Beaujolais est devenu mon nouvel eldorado dernièrement, et Daniel Bouland son fer de lance dans ma hiérachie personnelle. C'est dire...

Bon certes il m'aura fallu du temps pour que mon palais rende justice au gamay, cépage O combien controversé. Mais lorsqu'on recherche un vin qui procure un plaisir immédiat et durable (définition de la buvabilité?) privilégiant le fruit à l'esbrouffe (ce qui ne veut pas dire que la complexité est absente), alors je commence à penser qu'un Beaujolais bien né et bien travaillé a peu d'équivalent...et évidemment le prix rentre dans la balance...Et encore, je n'ai jamais dégusté un vieux Beaujolais (je veux dire 20-30 ans, un âge qui j'ai cru comprendre ne fait pas peur aux meilleurs Morgons et Moulin à Vent). Celà doit certainement être une expérience totalement différente, qui d'après les compte rendus d'expérience permet de placer encore plus haut le Beaujolais dans la hiérarchie des appelations où il fait bon investir quelques deniers.

Quant à Daniel Bouland, que dire sur un vigneron qui malgré le succès phénoménal et des quantités ultra limitées reste fidèle à une politique de prix que certains pourront trouver ridicule au vue de l'hallucinante exigence de qualité qu'il met dans ses vins.

Même sa cuvée la moins ambitieuse sur le terroir le moins qualitatif reste un modèle de ce que doit être un bon Beaujolais. Plaisir immédiat garanti. Mais que dire des ses côtes de Brouilly et Morgon...objets d'un autre compte rendu!

 

B+, très bon RQP (7€ domaine, 10€ caviste, pour ceux qui ont la chance d'en avoir....)

 

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